Chaque individu se construit sa propre vision du monde et, par conséquent, a sa propre représentation du monde. Il n’existe pas de carte unique du monde.

C’est un des présupposés de la PNL :

« La carte n’est pas le territoire » est un des présupposés de la PNL et phrase empruntée au fondateur de la « sémantique générale »

Alfred Korzybski

Les conflits relationnels proviennent, le plus souvent, de la confusion que nous faisons entre la carte et le territoire. Notre représentation de la réalité correspond à « notre carte du monde » ou tout du moins à la vision que nous en avons.
Notre carte du monde influence nos choix, nos perceptions et souvent nous limite. Cette carte mentale donne une représentation partielle et souvent erronée du territoire. La carte est la manière dont nous nous représentons la réalité.

Ce présupposé indique que nous n’agissons pas directement sur la réalité, mais plutôt sur la représentation de celle-ci. Cette carte mentale interne est alimentée par notre perception sensorielle (Vision, Audition, Kinesthésie, Odorat, Gustatif) du monde extérieur.

On avance que nous percevons plus de deux milliards de fragments d’informations à la seconde. Notre conscience est capable de traiter moins de dix informations dans le même laps de temps. Il est donc évident que nous filtrons la grande majorité des informations que nous recevons, percevons.

Ces filtres se développent à partir de valeurs, d’expériences professionnelles et personnelles, de croyances (au sens large).

Notre perception est donc totalement subjective. Elle dépend de la représentation que nous nous faisons de la réalité mais non de la réalité elle-même.

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